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Là ou je suis....

J’habite cette maison

qui porte son sexe sur son toit

comme la voleuse de l’orgasme

des rituels du cache-bonheur

 

et je suis mis a la porte

de mon propre chez moi

 

j’ai bu mon propre sucre

un beau matin d’éternité

et je me cherche depuis ton sexe

telle l’érosion post-bonheur

 

et j’ai toujours soif

de ma propre salive

 

je reviens de ce voyage

où je me suis connu étranger

pour avoir bu mon sang

après ce repas anti-bonheur

 

et je me perds dans le vide

pour avoir osé me chercher

 

 

 

Commentaires

  • Merde, la poesie est un grand verre d'écumes, de fleurs aux yeux des gens que vous chérissez, mais pour qui la ville se tais sous vos pas.

    Lavoie.

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